Tu dis que mon amour s’efface,
Et que mon cœur se fait tout noir,
Que pour toi je deviens de glace ;
Mon âme – amie – est un miroir
Qui réfléchit ce qui s’y passe !
Regarde, tu pourras t’y voir !
Jules Verne
Il n’est pas de rose assez tendre
Sur la palette du Printemps,
Madame, pour oser prétendre
Lutter contre vos dix-sept ans […]
Et nous vivrons ainsi sur les premières lignes
J’y chanterai tes bras comme les cols des cygnes[..]
La nuit tous les chats sont gris
et toutes les chattes adéquates.