Que la tendre saison ramène les oiseaux
Dans le bois où déjà refleurit l’anémone,
Ou que le vent du nord incline les roseaux
Sur les tristes étangs aux soirs d’extrême automne,[..]
Je vends anémone,
Jacinthe, lilas ;
Mon cœur, je le donne
Et ne le vend pas.
Jules de Rességuier