Ton front est beau, tes yeux sont beaux,
Qui flambent sous deux moires arches,
Comme deux célestes flambeaux […]
Silence ! Je revois l’innocence du monde.
J’entends chanter encore aux vents harmonieux
Les bois épanouis sous la gloire des cieux […]
Et de cela, qu’en est-il ?
En ce temps nouveau,
Qu’il soit laid ou beau,
Il m’importe bien peu. […]
Lecteur, en tout sujet, comme dans l’épigramme
Est bref ce qui est beau, et bon et touche à l’âme.