par admin
L’Hécatombe à Diane
Pardonne-moi, chère maîtresse,
Si mes vers sentent la détresse,
Le soldat, la peine et l’émoi :
Car depuis qu’en aimant je souffre,
Il faut qu’ils sentent comme moi
La poudre, la mèche et le soufre.
Agrippa d’Aubigné
Extrait du Sonnet
Catégorie:
AUBIGNÉ Agrippa