Un livre, avec le langage,
passe d’abord par le filtre de la raison.
Un film, avec ses images,
fait appel aux sensations, à l’émotion.
Les acteurs, étoiles au firmament,
nous émerveillent éternellement.
Au cinéma, le réel du film est clivant ;
Au théâtre, tous les acteurs sont vivants.
Le futur et le passé sont un film omniprésent,
le théâtre, c’est ici et maintenant, le présent.
L’histoire n’est pas belle,
la fin morbide nous aigrit,
les lenteurs s’y mêlent,
ce film ne m’a rien appris.
Le film (parlant) est la seule forme d’art
où la langue coupée de l’image
est incompréhensible dans son ensemble,
il y a un manque de sens, à ce qui me semble.[..]