Éloge du café
Il est une liqueur, au poète plus chère,
Qui manquait à Virgile et qu’adorait Voltaire :
C’est toi, divin café, dont l’aimable liqueur
Sans altérer la tête épanouit le cœur.
Aussi, quand mon palais est émoussé par l’âge,
Avec plaisir encore je goûte ton breuvage.
Que j’aime à préparer ton nectar précieux !
Nul n’usurpe chez moi ce soin délicieux.
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Abbé Delille
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Abbé DELILLE, DELILLE Jacques