L’industrie française va à vau-l’eau
avec la libre circulation des capitaux.
Dans ses poèmes : aucune ville, ni fleur, ni bête.
Franchement, je doute que ce soit un bon poète.
« À sa une » : un criminel narcotrafiquant, d’un autre continent
plutôt qu’un grand marin français, recordman des mers et océans.
Les migrants, il ne s’agit pas de les accueillir
mais – plus exactement – de les entretenir.
N’écoutons pas le président,
ses discours verbeux et surfaits,
mais, soyons regardants
à ce que le président fait.