Comment me suis-je assimilée ?
Par l’amour de la langue et le travail.
Tout le reste ne me dit rien qui vaille.
Mon âme sur ma lèvre était lors toute entière
Pour savourer le miel qui sur la vôtre était.
Mais, en me retirant, elle resta derrière
Tant de ce doux plaisir l’amorce l’arrêtait.[..]
J’appartiens au silence
à l’ombre de ma voix
Aux murs nus de la Foi
au pain dur de la France[..]
Là où vous voyez des foules haineuses mugissantes
Vous pouvez être sûrs que c’est la partie perdante.