Ici gît, Étranger, la verte sauterelle
Qui durant deux saisons nourrit la jeune Hellé,
Et dont l’aile vibrant sous le pied dentelé
Bruissait dans le pin, le cytise ou l’airelle.[..]
…
La terre maternelle et douce aux anciens Dieux
Fait à chaque printemps, vainement éloquente,
Au chapiteau brisé verdir une autre acanthe ;
Ci-gît Ferdinand Brunetière
Avec son œuvre tout entière.