Stances à Parthénice
Parthénice, il n’est rien qui résiste à tes charmes :
Ton empire est égal à l’empire des dieux ;
Et qui pourrait te voir sans te rendre les armes,
Ou bien serait sans âme, ou bien serait sans yeux.
[…]
Ce fut alors que voyant ton mérite adorable,
Je sentis tous mes sens t’adorer tour à tour :
Je ne voyais en toi rien qui ne fût aimable
Je ne sentais en moi rien qui ne fût amour.
Jean Racine
Extrait
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RACINE Jean