Le peuple ressemble à un cheval débridé
qui se cabre, s’emballe et doit être guidé.
Sur ses trottoirs, de plus en plus de vélos.
Il faut s’attendre bientôt à des chevaux.
Elle aime les hommes autant que les chevaux,
les tient en bride au repos comme au galop.
De ces bons animaux la viande me fait mal,
J’aime tant les chevaux que je hais le cheval.