Les hommes sont indécents
quand ils sont immoraux ;
les animaux sont innocents
car ils sont amoraux.
Tout humain se demande « Qui est l’homme ? »
Une chose l’a perdu : « une pomme ».
L’homme en face de l’Histoire
a vraiment l’air d’«une poire ».
L’homme se demande « mi-figue, mi-raisin »
si, par hasard, le singe n’est pas son cousin.[..]
Pour les gens, qu’est-ce le mondialisme ?
C’est une nouvelle forme de l’esclavagisme.
L’argent, le profit sont devenus substantiels
et les hommes sont réduits aux objets accidentels.
Créée après l’homme, après les animaux,
C’est une femme qui aura le dernier mot.
L’homme, l’être en soi, est une substance ;
Les institutions sont formes, des contingences.