Je t’aime pour toutes les femmes que je n’ai pas connues
Je t’aime pour tous les temps où je n’ai pas vécu.
Les objets, les couleurs, les sons,
Tout passe… Ou plutôt nous passons.
Et de cela, qu’en est-il ?
En ce temps nouveau,
Qu’il soit laid ou beau,
Il m’importe bien peu. […]
Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus ;
Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.