Oranger, dont la voûte épaisse
Servit à cacher nos amours,
Reçois et conserve toujours
Ces vers, enfants de ma tendresse ;[..]
Oranger, arbre que j’adore,
Que vos parfums me semblent doux !
Est-il dans l’empire de Flore,
Rien d’agréable comme vous ?
La Fontaine