En cette Nouvelle Année deux mille vingt-trois,
Soyons grands et opulents comme des Rois.
Comme la Reine est au-dessus la mêlée,
Elle peut l’unité de la nation sceller ;
L’unité d’un organisme lui garantit
La vie ou – dans la bataille – la survie.
À quoi sert de faire une révolution, guillotiner la Reine et le Roi
pour choisir n’importe qui comme président lequel fait n’importe quoi ?
Il ne faut pas tout le temps le bon champ labourer,
Il faut que reposer quelquefois on le laisse
Car quand le champ se repose et qu’on l’engraisse
On en peut, puis après, double fruit retirer.
[..]
Je préfère être gouvernée par un Grand Roi
que par un petit président qui nous déçoit,
car ce dernier se soumet au plus grand que soi.