Ruisseau peu connu dont l’eau coule
Dans un lieu sauvage et couvert,
Oui, comme toi, je crains la foule,
Comme toi, j’aime le désert.[..]
Un ruisseau, sur une pierre, coulait
de joie sautillant en ses eaux prestes.
La pierre silencieuse se consolait :
« Toi, tu passes, et moi, je reste ».