Vivre d’amour, c’est donner sans mesure,
Sans réclamer de salaire ici-bas ;
Ah ! sans compter je donne, étant bien sûre
Que lorsqu’on aime on ne calcule pas.[..]
Le vent souffle où il veut, et tu entends sa voix ;
Mais tu ne sais d’où il vient ni où il va.
Le coeur de l’homme médite sa voie,
Mais c’est l’Éternel qui dirige ses pas.
Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus ;
Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.
Car auprès de toi est la source de vie ;
Par la lumière nous voyons la lumière. […]