Tu es plus souple que le zèbre.
Tu sautes mieux que l’équateur.
Sous ton écorce les vertèbres
font un concert d’oiseaux moqueurs.[..]
J’ai ma tristesse dans ma chair et ma joie dans les livres.
Celui-ci s’est ouvert pour que j’y trouve un droit de vivre
plus acceptable que mon dû. Je me nourris de fables
et de malentendus. Je ne sais pas si mes semblables[..]