Combien j’ai douce souvenance
Du joli lieu de ma naissance …
Ma sœur, qu’ils étaient beaux, les jours de France ! …
O, mon pays, sois mes amours,
Toujours …
[..]
Alpes, vous n’avez point subi mes destinées !
Le temps ne vous peut rien ;
Vos fronts légèrement ont porté les années
Qui pèsent sur le mien.[..]
Nous verrons est un mot magique
Qui sert dans tous les cas fâcheux.
Nous verrons, dit le politique ;
Nous verrons, dit le malheureux. […]