De ta tige détachée,
Pauvre feuille desséchée,
Où vas-tu ? – Je n’en sais rien.
L’orage a brisé le chêne
Qui seul était mon soutien.[..]
Hélas ! comme il n’aimait personne,
Personne, ici-bas, ne l’aimait.
Et tous ses secrets ne valaient
Guère mieux que feuilles d’automne
Qu’indifférent le vent emporte
Et disperse le long des portes.