Oui, mes tempes déjà sont grises
Mes cheveux sur mon front sont blancs ;
Jeunesse, auprès, n’est plus assise,
Et l’on a vu vieillir mes dents.[…]
Plus je pense aux délices de l’Éternel,
plus je ramasse des amants à la pelle.
Mes années passeront,
Mes écrits resteront.