Paul, ce grand médecin, l’effroi de son quartier,
Qui causa plus de maux que la peste et la guerre […]
Ton oncle, dis-tu, l’assassin,
M’a guéri d’une maladie […]
Mon âme m’avertit de fuir Héliodore
Sachant que cet amour me causera du tort […]
Si tu me consumes de tout ton zèle,
Mon âme va s’enfuir, Éros,
Car, sais-tu, comme toi, elle a des ailes.
De ces deux, il en fut ainsi
Comme du chèvrefeuille était
Qui au coudrier s’attachait :
Quand il s’est enlacé et pris
Et tout autour du fût s’est mis,
Ensemble ils peuvent bien durer.[..]