Amour, je prends congé de ta menteuse école,
Où j’ai perdu l’esprit, la raison et le sens,
Où je me suis trompé, où j’ai gâché mes ans […]
Maîtresse, je n’ai garde de vouloir t’éveiller,
Heureux quand je regarde tes beaux yeux sommeiller ;
Heureux quand je les vois endormis sur moi.
Changer d’homme de temps en temps ?
Je préfère prendre un homme changeant.
Ton front est beau, tes yeux sont beaux,
Qui flambent sous deux moires arches,
Comme deux célestes flambeaux […]
Frères et Soeurs, réjouissez-vous,
Le Seigneur est au rendez-vous !