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LXXXIII (tu vis)
Tu vis, – moi je porte le faix
De ton étrange et dur destin,
Puisque le mal que tu me fais
Tu ne peux pas en être atteint !
Anne de Noailles
Source : « Poème de l’amour », Comtesse de Noailles, Arthème Fayard & Cie, Éditeurs, 1924
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NOAILLES Anna