Les gens malades du Pouvoir
nous font craindre une maladie ;
Craindre la maladie
c’est craindre la vie.
Tous les jours la belle Sylvie,
Qui voudrait vivre après sa mort,
Veut que je parle de sa vie,
Et j’ai peur de lui faire tort.[..]
Ma mort n’est pas complète
Car je vis dans vos têtes.
Un être humain perd l’amour et le sens de la vie,
coupant le contact avec son âme et ses envies.