Nature au coeur profond sur qui les cieux reposent,
Nul n’aura comme moi si chaudement aimé
La lumière des jours et la douceur des choses […]
Ruisseau peu connu dont l’eau coule
Dans un lieu sauvage et couvert,
Oui, comme toi, je crains la foule,
Comme toi, j’aime le désert.[..]
Bises de la mer ensoleillée
dont les vagues dansent et font yéyé.
La terre tourne, on peut s’y fier ;
Je ne fais rien, j’oublie le monde entier.
Il a changé tant de fois
qu’il ne se reconnait pas.
Ses discours sont d’une belle envolée.
Il nous abêtit pour nous voler.
Pauvre en amour ? Quelle calamité !
C’est pire qu’une invasion de poux.
Mieux vaut aimer sans réciprocité
Plutôt que de ne pas aimer du tout.