Enfin un film intéressant et différent
du cinéma et tous ses films abêtissants.
Le film nous dit comment : « L’âme a ses passe-droits
que ni la raison ni le corps ne connaissent pas ».
Le politiquement correct, drôle de mise à niveau :
« La vérité est laide et le mensonge est beau ».
Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse,
Nous apportait l’odeur des fleurs qui s’ouvrent tard ;
La nuit tombait ; l’oiseau dormait dans l’ombre épaisse ;
Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse,
Les astres rayonnaient, moins que votre regard.[..]