Belle épousée, j’aime tes pleurs !
C’est la rosée qui sied aux fleurs.[..]
Regarde sans frayeur la fin de toutes choses,
Consulte le miroir avec des yeux contents.
On ne voit point tomber ni tes lys, ni tes roses,
Et l’hiver de ta vie est ton second printemps. […]
Je ne suis plus ce que j’ai été
Et je ne le saurais jamais être,
Mon beau printemps et mon été
Ont fait le saut par la fenêtre.