Les merles sont tous ivres de soleil,
Des jardins les chants fusent vers le ciel ;
Des merles vont nicher dans tous les cœurs
Et tous les cœurs sont des jardins en fleurs.[..]
Comme les sangliers, les va-t’en guerre
En France, dernièrement, prolifèrent.
Il se donne des airs d’un petit Napoléon ;
Dans le résultat de ses actes, c’est un dindon.
À quoi « Le Canard enchaîné » est-il enchaîné ?
À l’argent de l’État auquel il est subventionné.
Ce journal n’étant plus ni libre ni souverain
est un perroquet d’État qui chante ses refrains.