Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé […]
Les sanglots longs des violons de l’automne
Blessent mon coeur d’une langueur monotone […]
Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon cœur ? […]
Où étais-je avant de naître ?
Dans les chiffres et les lettres.