La roue de la fortune tourne, peu ou prou,
Je l’ai compris en étant dessous.
Passant, dis à Sparte que ses fils ici demeurent,
Obéissant à ses lois jusqu’à la dernière heure.
Ayant bien bu, bâfré, et noirci tout un chacun,
Timocréon repose ici. Vilain défunt.
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous.[…]
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime […]