Riche d’informations, sous moult différents prismes,
le livre m’a plu :
il y est la meilleure critique du structuralisme
que j’aie jamais lue.
J’ai l’âme lasse du destin
et je ne veux plus voir le monde
qu’à travers le voile divin
de tes pâles cheveux de blonde.[..]
Comment oublier le pli lourd
De tes belles hanches sereines,
L’ivoire de ta chair où court
Un frémissement bleu de veines ?[..]
Trop d’images, trop de pub, trop de programmes
finissent par nous pervertir l’esprit et l’âme.
Se définir – avant tout – par la couleur de la peau,
c’est ignorer son âme, c’est avoir tout faux.