Il est vrai que vous êtes si belle
Qu’après vous, il n’est rien qui puisse me ravir ;
Mais cessez d’être si cruelle,
Ou je cesse de vous servir.[..]
Fleurs promises, fleurs tenues dans tes bras,
Fleurs sorties des parenthèses d’un pas,
Qui t’apportait ces fleurs l’hiver
Saupoudrées du sable des mers ?[..]
Quand le califat interdit la musique
il a des relents visiblement diaboliques.
Tout se tait. Mon cœur seul parle dans le silence.
La voix de l’univers, c’est mon intelligence.