Les épigrammes satiriques nous invitent au rire ou au sourire.
Le rire est la plus spirituelle des émotions positives.
Dans la littérature, le rire des poètes, des écrivains et des dramaturges procède essentiellement de la langue et ce rire n’a pas besoin d’un magma audiovisuel pour exister, traverser des siècles, affirmer son actualité et son universalité.
« On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde » disait Pierre Desproges, et chacun de nous ne rit pas des mêmes choses.
« Le sourire, c’est la musique de l’âme » nous a fait remarquer Mère Teresa.
Créée après l’homme, après les animaux,
C’est une femme qui aura le dernier mot.
Dans ses poèmes : aucune ville, ni fleur, ni bête.
Franchement, je doute que ce soit un bon poète.
À bas les gouvernants, monarques, rois
qui, au lieu d’agir, organisent les débats.
Quand un particulier est trop endetté,
aucune banque ne veut lui prêter ;
Quand un pays est trop endetté,
les financiers ont trop d’intérêts à lui prêter.
On se demande, en écoutant les sociologues de la télé,
si c’est la société ou ce sont plutôt eux qui sont fêlés.