Depuis un mois je m’y repose
Et n’y fais non plus grand-chose.
Nous établissons les lois et les décrets,
Et puis nous tombons sous leur couperet.
Peu importe qui tu baises l’air vicieux,
Car de toute façon tu fermes les yeux.
La roue de la fortune tourne, peu ou prou,
Je l’ai compris en étant dessous.
Passant, dis à Sparte que ses fils ici demeurent,
Obéissant à ses lois jusqu’à la dernière heure.