Le vent souffle où il veut, et tu entends sa voix ;
Mais tu ne sais d’où il vient ni où il va.
Le coeur de l’homme médite sa voie,
Mais c’est l’Éternel qui dirige ses pas.
Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus ;
Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.
Car auprès de toi est la source de vie ;
Par la lumière nous voyons la lumière. […]
Tes yeux sont si profonds
Qu’en me penchant pour boire
J’ai vu tous les soleils y venir se mirer […]